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Vive la Sociale

Derniers commentaires
28 octobre 2016

Retour en arrière vers le présent.... vers quel futur ?

Il y a longtemps que j'ai abandonné ce blog m'étant laissée absober par les réseaux sociaux mais je me lasse et mesure la liberté et l'espace pour s'y s'exprimer.
De plus en parcourant le passé je me rends compte à quel point il est toujours aussi présent !!!
Et à quel point il est utile d'occuper tous les terrains...
En attendant le prochain article je vous invite à parcourir le passé si présent..

Ps : je n'ai pas vérifier les liens certains douvent être obsolètes

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9 mars 2012

Elections 2012

Bon est ce que je sors de ma coquille pour ce jeu de cons ?
Je ne sais pas si j'ai vraiment envie de jouer mais je vais quand même essayer de m'y intéresser à cette p... de campagne !

Surtout qu'il n'y en pas qu'une !

Derrière se profile les élections législatives nettement plus révèlatrices des tendances politiques de notre pays !

Mais chaque chose en son temps sans perdre de vue l'environnement... Mais non je ne pense pas aux écolos qui n'arrive même pas à surfer sur la vague antinucléaire pourtant il avait un boulevard radioactif

En cette journée de la femme c'est peut-être une bonne journée pour entrée dans la danse...

Premier jour des dépots de signatures au Conseil Constitutionnel pour les élections présidentielles de 2012 (comme au Sénégal)...

D'ailleurs le premier candidat a déposé ses cinq cents (et même plus = 521) signatures est une candidate Nathalie Arthaud (Lutte Ouvrière), le deuxième Jacques Cheminade (532 signatures) les autres sont à venir...

 

14 juin 2010

Sangria et vin chaud, nos armes de lutte !

C'est maintenant une habitude de préparer le vin chaud en hiver et la sangria en été pour accompagner nos différentes manifestations et devant le succès qu'ils rencontrent je vous livre : Mes recettes de vin chaud et de sangria

6 mars 2010

Anarchie quand tu nous tiens !

Je craque

J'en ai marre

Quand je dis que je suis anarchiste neuf fois sur dix on me rétorque que je ne peux pas être anarchiste si je ne vis comme une anarchiste mais est ce qu'on demande aux communistes au trotskystes de vivre comme des communistes ou comme des trotskystes...

 

Comment leurs expliquer à ces imbéciles que quand on se dit anarchiste c'est qu'on adhère à cette idéologie et qu'on ne peut pas toujours vivre suivant son idéologie dans un monde qui ne correspond pas à nos aspirations.

Ils sont plus royalistes que le roi, ils voudraient nous foutre en dehors du monde qu'ils ne feraient pas autrement.

Ils ne se rendent même pas comptent qu'en tenant ce genre de discours ils nient l'histoire idéologique et politique de toute une classe.

Louise au secours ! Veux tu revenir pour leur expliquer que l'anarchie est une aspiration inscrite dans nos cœurs je n'en ai plus la force ! Ils me fatiguent tous ces cons !

14 février 2010

Arbeit macht frei selon Élisabeth Badinter !

Journée Élisabeth Badinter sur France Inter la bourgeoisie dans toute la splendeur féministe. Non pas que je dénigre le féminisme, j'en suis, mais le discours de la bourgeoisie féministe... Je résume son propos : Le discours écologique autour de la maternité : l'allaitement naturel et prolongé, les couches lavables etc..., amènerait une dépendance nouvelle qui serait dangereuse pour la liberté que, la femme, a déjà acquise par son accès à la vie sociale, pour son indépendance (financière entre autre) par le travail. En quoi la position d'Élisabeth me fait-elle bondir, car a priori on pourrait être d'accord avec elle ? Mais son analyse ne correspond qu'à une vision de classe. En effet il n'y a que les bourgeoises pour croire que c'est les luttes féministes qui ont permis aux femmes de travailler et d'accéder ainsi à l'indépendance. Moi plus loin que je regarde dans ma généalogie toutes les femmes ont toujours travaillé : bonnes, lavandières, fermières, ouvrières, employées... Bien sûr il ne s'agit pas des mêmes places que : rédactrice en chef d'un journal, avocat, médecin, PDG etc... Autrement dit si la lutte féministe a effectivement ouvert des portes jusque là fermées aux femmes, elle n'a pas éradiqué la ségrégation sociale. La condition féminine n'est pas uniforme mais dépend comme celle des hommes des conditions sociales. Donc si le travail a pu donné l'illusion à certaines qu'il permettait d'accéder à une vie sociale riche et à une indépendance salutaire, la lutte féministe n'a pas changé grand chose aux conditions de vie de celles qui ont toujours travaillé. D'autre part si effectivement la pratique écologique pour une femme qui travaille et encore plus pour une mère est compliquée à mettre en œuvre quotidiennement tellement qu'il me semble n'intéresser qu'une frange de la population et plutôt d'une CSP élevée, genre bobos. La question de l'allaitement prolonger ne se pose même pas quand il faut reprendre le boulot ! Ce sont plutôt les problèmes de garde puis scolaires qui sont quotidiens dans mon monde. Mais même si cette vision écologique de la société se répandait n'est ce pas à la société de s'adapter aux nouveaux choix de vie de ceux qui la constituent ? D'autant que la position des décroissants remet en cause l'organisation de la société , du travail. Mais c'est un choix politique qui concernent aussi les hommes Et ne faire reposer le poids d'un choix de vie uniquement sur les épaules de la femme et de la mère ne serait ce pas tout simplement un constat d 'échec de la lutte féministe qui n'a pas pu annihiler les rapports de domination masculine. Et en tout les cas le constat que la lutte n'est pas finie que le chemin sera encore long surtout si il se complet dans ce genre de méandres divisant rejetant certaines femmes tout en oubliant que quelque soit notre vie elle dépend plus de notre condition sociale mais que toutes nous subissons l'oppression masculine d'autant plus fortement quand les conditions sociales font qu'on subit plus fortement toutes les autres pressions sociales (travail, chômage, précarité...) Bref si le propos d'Élisabeth Batinder peut-être vrai de son point de vue ce n'est pas la réalité commune mais peut-on lui reprocher d'avoir une opinion de classe ?

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17 novembre 2009

L'identité nationale le retour du rascisme national ?

Je ne comprends pas ce débat ou plutôt si, trop bien : il participe à la propagande d'état qui vise à instaurer un système de pensée et donc à préserver un système politique à la veille des élections régionales qui seront vues comme un bilan de la gouvernance de notre président. En effet quel est le sujet de ce débat ? La nationalité française est définie par la loi et sanctionnée par l'obtention de la la carte d'identité nationale, mais le débat ne se passe pas dans nos institutions nationales, il ne s'agit pas de changer le droit d'être français ! Si le débat ne se situe pas à ce niveau que reste-il à débattre ? D'un point de vue philosophique : L'identité se définie par comparaison de ce qui est identique et de ce qui est différent chez l'individu, qualitativement et numériquement, on cherche donc à cerner ce qui est unique ce qui constitue l'individu. La nationalité n'entre donc pas dans ce débat. Si pour simplifier on fait l'amalgame entre nationalité et culture française on arrive à un contre sens et à la négation de la francophonie, preuve que culture et nationalité sont deux chose différente. L'une perméable, que serait notre littérature française sans l'apport des écrivains étrangers de langue française ou traduits, la musique sans le rock, sans parler de la musique classique, la peinture, la mode, la science... L'autre protectionniste qui vise à réserver un territoire à ces seuls ressortissants. Et si on confronte l'idée de nationalité à l'histoire on voit bien que la nationalité n'a pas de réalité historique ou plutôt elle évolue et change au tout au long de notre histoire. Qu'on parte de la constitution de notre nation qui s'est construite sur bien des différences où la seule cohésion était la soumission à un souverain, ou par exemple pendant la période coloniale (et encore maintenant !) où des africains, des asiatiques, des canaques, etc., se sont retrouvés avec des aïeux gaulois ! La nation est donc une somme de différences mais le débat ne pose pas la question de la nation mais de son appartenance : la nationalité. Pour nous faire apparaître une unité où il n'y en a qu'une virtuelle. La nationalité est une notion unique mais présente de manière différente chez chaque individu. Ne serait-ce pas cette représentation qu'on voudrait rendre uniforme, chemin dangereux vers la pensée unique ? l'individu est-il soluble dans l'idée ? Et l'appartenance à une nation définie t-elle, à elle seule, la nationalité ? Chacun n'est-il pas libre de se faire une représentation personnelle de la notion de nationalité ? On nous dit que c'est un débat de société, qu'est ce que ça veut dire ? (Je ne connais pas d'autre solution que politique pour changer la société) Et au fil du débat on s'aperçoit qu'on nous parle plus des différences des différents individus français plutôt que de ce qui les unis : le débat dévie sur l'identité des différents français et leur droit à être français. Cela ne vous rappelle t-il pas quelque chose ? Bientôt le pavé sera couvert d'étoiles mais pas celles d'Hollywood ! Il s'agit donc bien d'un "débat" sous-tendu par discours éminemment politique qui vise à instiller une certaine idée de la France et du droit à y vivre ! Participer à cette action de propagande serait donner son accord mais ne pas en parler reviens au même il faut donc dénoncer ce débat avec toutes les voix et par toutes les voies possibles.
23 juin 2009

Féministes, le combat continu !

Une autre discussion avec le même camarade m'oblige à revenir à la question féministe.

En gros il ne voyait pas la nécessité de mener une lutte spécifique pour les femmes, incluse  qu'elle est dans la lutte globale.
Problématique éculée du révolutionnaire qui n'a pas conscience de son machisme !

Alors est-il bien utile de lui répondre en effet je ne suis pas sûre, vu son état de conscience, qu'il soit à même de percevoir que sa question même renvoi à cette nécessité.

Il prétend que l'émancipation du travailleur et de la travailleuse vont de pair (et oui c'est lui qui ne voit la société qu'à travers le travail et les rapports qu'il engendre).

Or je maintiens que la femme subit une double aliénation. La première est effectivement commune à l'homme : l'aliénation par le travail, dominés tous les deux par la même classe capitaliste. La deuxième imprègne toute la société et place la femme sous la domination de l'homme et de sa société masculine.

Nier cette double aliénation prouve soit les limites de la conscience masculine, soit la volonté de ne pas remettre en cause leur position hégémonique.

Donc même si certains hommes ont pris conscience et intégrés dans leur lutte la défense des droits sociaux des femmes, il n'en reste pas moins à définir la place que nous femmes nous voulons occuper, de ce que nous voulons faire des tâches qui nous sont assignées depuis si longtemps.

Serait il acceptable que les hommes décident encore pour nous de ce que nous voulons comme vie !

Bien sûr ils sont les premiers concernés par les transformations profondes qu'engendre un changement des rapports hommes/femmes.

Mais on attend encore un mouvement masculin (autre que homosexuel) remettant en cause leur virilité, ou la représentation qu'on en a, qui est à l'origine de notre société machiste comme les femmes discutent l'image de la femme renvoyée par cette même société.

D'autre part certaines femmes n'ont pas encore pris conscience de leur aliénation, il est donc encore loin le temps où les hommes auront suffisamment pris conscience que derrière les notions conjointes de la virilité et de la féminité se cachent non plus la domination d'une classe sur l'autre mais s'ajoute à elle, la domination de moins de la moitié de la population humaine sur une autre.

Il est donc encore cruciale que la parole féminine puisse s'exprimer en toute liberté sans l'omniprésence masculine.

De plus la dimension maternelle de la femme ajoute à la complexité de la question féministe. En effet son rôle dévolu d'éducatrice pose d'autant plus gravement le problème qu'elle sous-tend le droit de l'enfant et sa place dans la société d'autant plus cruciale à l'heure où la biologie suscite des débats éthiques.

 

En espérant qu'un jour il ne soit plus nécessaire de démontrer l'utilité du débat féministe pour que les hommes s'allient à cette lutte pour une société plus juste en remettant spontanément en cause leur domination.

22 juin 2009

Le tavail et moi !

Après une brève discussion avec un camarade ce week-end je suis partie dans une réflexion sur le travail en voici le fruit :

Si le travail humain a comme origine le désir de transformer son environnement pour s'éviter les fatigantes transhumances et ainsi se sédentariser, il a vite cessé de ne répondre qu'aux besoins vitaux de tous pour n'assouvir que le désir et plaisir de quelques uns.

L'esclave et le serf ont purement été privés non seulement de leur liberté mais aussi de la jouissance du produit de leur travail.

Les évolutions techniques auraient peut-être permis l'émancipation si la division du travail n'avait privé les hommes de leurs outils (moyens de production) entraînant leur aliénation, aggravée par la division entre travail intellectuel et manuel.

Et si le prolétaire a, de par ses luttes, réussi à gagner en liberté et confort, il n'a pu obtenir que la compensation de sa force de travail et non la jouissance totale de son produit.

La complexification de nos sociétés bien loin d'avoir résolu cette inégalité profonde masque derrière une émancipation du prolétaire en salarié une dépendance d'autant plus grande qu'elle semble incontournable, limitant la vie humaine à une vie de labeur rémunérer et réduisant le travail à cette aliénation.

Si bien que chacun de nous a intégré cette notion : le travail est une nécessité.

Pendant que ceux qui jouissent de son produit revoient la nécessité de le rémunérer donc sa valeur.
Tout en nous en demandant plus !

Ce qui me semble le pire c'est que devant cette constatation on ne remette pas en cause le travail lui même mais seulement ses composantes c'est à dire en ne proposant que des changements entre les rapports capital et travail, moyens de productions, masse salariale et production.

À l'heure où coïncide une remise en cause profonde du libéralisme, et au delà du capitalise, avec la prise de conscience que l'écologie doit devenir une préoccupation primordiale, il serait peut-être urgent de reconsidérer l'organisation sociale dans son ensemble et donc peut-être non plus autour du travail, du capital et de leurs rémunérations mais bien autour du produit et du droit à sa jouissance.

D'autant que l'écologie souligne l'importance des questions sur la nécessité même de telle ou telle production pour qui, pour quoi et de leur impact.

Tout en précisant que l'écologie n'est pas comme on le croit généralement dévolue à la protection de la nature mais plutôt à la survivance de l'homme en son sein, en effet la terre se porterai mieux sans nous à moins que nous reprenions notre place de grands singes !

Je revendique donc la production de tous pour tous
mais je dénigre le travail entaché qu'il est par son aliénation.

31 mai 2009

La rage en dedans cette claque dans le sang...

Un copain m'a fait découvrir Kenny Arkana depuis j'écoute en boucle et je cherche sur internet et je suis tombée sur ce manifeste de la rage du peuple

El pueblo unido jamas sera vencido

C'est mon seul commentaire je vous laisse déposer les votre
Merci Romain

26 mai 2009

Relations publiques, la propagande des démocraties !

Comme je vous l'ai certainement déjà dit je suis une adepte de Là-bas si j'y suis, l'émission de Daniel Mermet sur France Inter.
Dans celle du jeudi 7 mai j'ai encore découvert un homme plein de charme Edward Bernays, grand théoricien oublié mais qui a  créé et institutionnalisé la propagande dans les démocraties du XXe siècle en rendant incontournable sa méthode des relations publiques dont on peut voir la mise en application par tous les médias, les gouvernements,  les communicants , les politiques...
Je nous savais sous influence mais qu'il y ai eu un théoricien aussi génial que Orwell aurait pu l'imaginer !

Big Brother te manipule !

La propagande de l'ouest n'a vraiment rien a envié à celle de l'est puisqu'elle a réussi à transpercer le mur jusqu'à la désintégration du bloc communiste bien plus sûrement, plus durablement (?) que n'importe quelle arme !
Plus sournoise, disposant de tout un arsenal elle fait le lit de la pensée unique, de la démocratie par une classe pour une classe.
Allez voir les liens, écoutez, lisez, même si vous êtes déjà convaincu que le monde n'est pas celui qu'on nous présente, nous avons à apprendre des techniques de nos ennemis (de classe).

Pour en savoir plus quelques liens :
Là-bas si j'y suis du lundi 26 novembre 2007
Editions Zones

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